mardi 30 juillet 2024

La fréquence de résonnance de l'oxygène est de 528 Hz.

 La fréquence de 528 Hz a été identifiée par le Dr. Joseph Puleo, un mathématicien et chercheur américain, dans les années 1990. Puleo a découvert que cette fréquence était l'une des six fréquences fondamentales de l'univers, qu'il a appelées les "fréquences de Solfeggio".

Les fréquences de Solfeggio sont une série de six fréquences qui correspondent aux notes de la gamme musicale de Solfeggio, qui était utilisée dans la musique sacrée du Moyen Âge. Les six fréquences sont :

  • 396 Hz (UT) : libération de la peur et de la culpabilité
  • 417 Hz (RE) : réparation et débloquage
  • 528 Hz (MI) : transformation et miracles
  • 639 Hz (FA) : reconnecter et équilibrer
  • 741 Hz (SOL) : intuition et conscience
  • 852 Hz (LA) : retour à l'ordre spirituel

Puleo a découvert que ces fréquences avaient des propriétés thérapeutiques et pouvaient être utilisées pour promouvoir la guérison, la relaxation et la croissance spirituelle. Il a également découvert que la fréquence de 528 Hz était particulièrement puissante et pouvait être utilisée pour créer des miracles et des transformations positives dans la vie.

Depuis les travaux de Puleo, la fréquence de 528 Hz a été largement utilisée dans la musique thérapeutique, la méditation et les pratiques spirituelles. Cependant, il est important de noter que les propriétés thérapeutiques de cette fréquence n'ont pas été scientifiquement prouvées et que son utilisation est encore considérée comme expérimentale.

mardi 11 juin 2024

Télomérase et longévité, article scientifique

https://www.medecinesciences.org/en/articles/medsci/full_html/2011/09/medsci20112711p966/medsci20112711p966.html

Citation :

La voie Nrf2 : future cible thérapeutique en pathologie respiratoire ?

Bien que largement testés dans les maladies respiratoires, les suppléments alimentaires et les molécules antioxydantes visant à augmenter les défenses antioxydantes non enzymatiques n’ont pas fait la preuve de leur intérêt thérapeutique. La plupart des études décrites précédemment suggèrent que le facteur de transcription Nrf2 pourrait constituer une cible intéressante pour de nouvelles stratégies thérapeutiques ou de prévention, en restaurant les antioxydants endogènes et les enzymes de détoxification (Tableau III) [5]. La première approche consiste en l’utilisation de composés comme les terpènoïdes, les flavonoïdes et les isothiocyanates qui activent la transcription des EPII via l’ARE en favorisant la dissociation du complexe Nrf2-Keap1 et/ou en augmentant l’activité transcriptionelle du complexe formé par Nrf2 et les autres facteurs de transcription [5]. L’activation de la voie Nrf2 serait responsable des effets bénéfiques de composés alimentaires comme le curcumin du curry, l’épicatéchine du cacao et du thé, le sulforaphane des brocolis, les terpénoïdes et flavones extraits de Ginkgo biloba et les isoflavones du soja dans les maladies neurologiques [3940], cardiovasculaires [41] et pulmonaires comme la BPCO et l’emphysème [4243]. La deuxième approche est la surexpression de Nrf2, grâce à l’utilisation de virus utilisés comme vecteurs responsables de l’infection spécifique d’un tissu in vivo, ou à l’infection de cellules ex vivo greffées ensuite au patient. Selon les résultats des études in vitro et chez l’animal, le CDDO et ses dérivés triterpénoïdes de synthèse promettent des applications potentielles dans le traitement des maladies rénales, neurodégénératives [44], cardiaques [45] et pulmonaires [46]. Cette molécule a d’ailleurs fait l’objet d’essais cliniques de phase I dans le traitement des leucémies et tumeurs solides et est actuellement utilisée dans des essais de phase IIb dans le traitement de l’insuffisance rénale chronique dans le diabète de type 22.